Louis Fouché, réanimateur à Marseille, est l’un des fondateurs de cette institution libre.
Ce médecin est également porte-parole du réseau Réinfo covid, un collectif qui réunit de nombreux personnels de santé dont le but est de livrer au public leur vérité de terrain. Le but de ces initiatives n’est PAS de contredire ce que disent les médias officiels mais de présenter la part de réalité que ces derniers ne traitent pas ou peu. La première capsule vidéo de ce conseil a été publiée le 7 avril 2020. Vous trouverez la vidéo ici. Cinq scientifiques étaient réunis dans le cadre de ces échanges :
Ce sont des scientifiques ultra-compétents. Certains ont occupé des fonctions importantes dans le système médical au niveau local ou régional. Mais ils ont su garder leur liberté. Pour cette raison, ils subissent ou ont subi de fortes pressions de la part de l’Ordre des médecins ou de l’administration de santé. Ils sont courageux, généreux et n’ont aucun lien d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique. Dans le cadre de leurs échanges, certains d’entre eux font une présentation tandis que les autres offrent des explications ou des commentaires à ces exposés. Le système de preuve dans la médecine moderne Cette présentation est réalisée par Philippe de Chazournes. Il explique que la médecine moderne s’est construite sur un système de preuves hiérarchisées. Lorsqu’une nouvelle maladie apparaît comme le Covid 19, les chercheurs prennent le temps d’observer ce qui se passe. Puis, ils font des essais. C’est exactement ce qu’a fait le Pr Didier Raoult à l’IHU de Marseille avec l’hydroxychloroquine et le zinc. Ensuite, on cherche à mesurer, calculer et prouver si cela est possible. Lorsque tous les éléments de preuves sont réunis, notamment des études en double aveugle où patients et médecins ignorent qui a reçu quoi entre deux groupes, et que les résultats sont statistiquement concluants, on donne une note “A” au traitement. Sinon, ce sera un “B” ou un “C” Certains médicaments avec une note B ou C restent très utiles. C’est le cas de la morphine par exemple. Ce système a un avantage : il rationalise les niveaux de preuves. Il offre une grille d’utilisation des médicaments. Il a un inconvénient : l’industrie pharmaceutique exerce une influence très forte sur les administrations sanitaires et les revues scientifiques qui assurent le suivi de ces procédures de validation. Résultat, c’est un système qui, désormais, sert plus les intérêts de l’industrie que ceux du patient. Pour changer les choses, il faudrait notamment plus de transparence et de liberté au niveau des revues scientifiques. Premier bilan de la politique vaccinale mondiale Éric Ménat propose un topo sur la vaccination anti-Covid 19. L’essentiel de son message est un appel à la prudence. Il est trop tôt pour tirer des conclusions d’autant que les données émanant des pays ayant lourdement vacciné sont contradictoires. Dans certains pays la vaccination semble donner des résultats : c’est Israël. Et en même temps, la courbe du printemps 2021 ressemble à celle de l’automne 2020. C’est une courbe en cloche. Les augmente beaucoup au début de la vague, puis il y a un plateau arrondi, puis cela chute. Or, au printemps 2021, on a vacciné mais pas à l’automne 2020. Comment savoir quel aura été l’influence exacte des vaccins ? Dans d’autres pays à fort taux de vaccination comme le Chili, la Serbie ou la Hongrie, la mortalité liée au Covid 19 semble avoir augmenté… À quoi cela est-il dû ? Éric Ménat pense qu’il s’agit de l’évolution naturelle de la courbe de l’épidémie. Cette crise sanitaire nous réserve encore bien des surprises ! Conseil scientifique douteux et restrictions sociales exagérées Les deux autres interventions de cette capsule sont de Vincent Pavan et Louis Fouché. Le premier est mathématicien. Il explique que Arnaud Fontanet, membre du conseil scientifique aurait dirigé une étude “bidon” à partir de laquelle le gouvernement aurait décidé de fermer les restaurants. Cette étude serait en réalité un sondage téléguidé dont les choix des cohortes seraient malhonnête et les conclusions préformatées. Ce constat fait penser à Louis Fouché, réanimateur à Marseille, que les mesures de restrictions sociales sont beaucoup drastiques. Il explique que différentes études ont montré par ailleurs qu’elles n’avaient pas d’effet réel ou mesurable sur l’épidémie. Bref, on nous enfume. Pour voir la vidéo complète, rendez-vous ici. À votre santé ! Augustin de Livois Références https://crowdbunker.com/6aSJEafL
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